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chapitre un - les sirènes du tunnel
 
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DÉCADENCE (F) LIBRE

Big Brother
Big Brother
is watching you
Messages : 69
Date d'inscription : 15/01/2017
Jeu 17 Aoû - 22:31
Big Brother
DECADENCE
Danse comme si le monde s'écroulait, vis comme si personne ne te jugeait, ferme les yeux et réveille-toi de ce cauchemar...
DÉCADENCE (F) LIBRE 679744decadence

nom •• Décadence.
surnom •• "Princesse", "Miss", "Petite"...
âge •• 5 ans.
sexe •• femelle.
groupe •• (dé lancé par le futur joueur)
visionnaire •• oui/non (dé lancé par le futur joueur)

APPARENCE


1m50 - rustique - légèrement trapue - tête typée Arabe - crins lisses un peu rebelles parfois - grands yeux sombres brillants - queue portée haut - allures gracieuses - grise (blanche), bout du nez et articulations des membres gris cendré - large ladre rose pâle. Comme tous les gris, elle est née sombre et s'est éclaircie avec le temps. Ses articulations grises peuvent disparaître. Née brun sombre, elle est devenue pommelée et vient tout juste de virer au blanc.

Décadence. Drôle de nom, pour une drôle de jument, en fait. Elle n'est pas très complexe, mais pas banale non plus. Elle ressemble un peu à une jument Arabe. Pourtant, elle a majoritairement du sang de Camarguaise. Drôle de mélange. Tout est drôle, chez elle. Une race du désert croisée à une race des Marais . La sécheresse contre l'humidité. Le sable et l'eau : ne seraient-ce pas la mer ? Une mer de petite taille, avec des airs d'antan. Rustique, solide, forte et un peu trapue, le genre qui vous fait fondre. Et ces grands yeux sombres brillants de malice, seraient-ce ceux d'un poulain ? Non. Ce sont ceux de Décadence. Au fond, c'est un peu la même chose.

Décadence a des airs de ponette, qui vous font craquer. Vous avez l'impression d'avoir affaire à un shetland, parfois. Un mètre cinquante à peine, c'est une toute petite jument. Mais quelle force ! Une vraie tornade. Voyez ses muscles, hérités de ses ancêtres. Elle pourrait vous traîner à l'autre bout du monde, la princesse. Malgré ses formes généreuses, elle est plutôt élégante. Une tête fortement Arabe, au chanfrein légèrement concave et fin, ornée de deux larges naseaux, deux grands yeux sombres et expressifs et deux petites oreilles mobiles, une queue hautement dressée et des allures aériennes en font une gracieuse ballerine.
Son corps est agrémenté de ses crins. Plutôt longs, sans être gênants, à mi-chemin entre la finesse et l'épaisseur, ils semblent parfois un peu rebelles, mais toujours lisses et souples.
De robe, elle est simple. Belle, élégante, tout en simplicité. Grise, l'appelle-t-on ; blanche est-elle. Couleur de neige au soleil, couleur d'edelweiss épanoui. C'est une fleur, Décadence, une fleur rare. Son bout du nez et les articulations de ses membres sont gris cendrés. La trace d'une liste blanche, invisible sur son chanfrein de même couleur, se dessine sur ce gris ; une bande de peau rose pâle, sous forme de ladre, traversant la moitié de son naseau droit tout en épargnant de peu le gauche, en marque l'emplacement.

PSYCHOLOGIE


Enfantine - joueuse - téméraire - rebelle - sait user de ses sabots au besoin - naïve - peu sensible au charme des mâles - apprécie la galanterie - drôle - attend le prince charmant. Elle souhaite renouer avec sa sœur jumelle, Déchéance, mais cette dernière refuse de la considérer encore comme une sœur.

Vous connaissez Peter Pan. Le petit garçon qui ne voulait pas grandir. Décadence, c'est un peu Peter. Au féminin. Petera, dira-t-on. Gardons le Pan pour le bruit que feront ses sabots sur votre croupe si vous l'embêtez trop. Ce n'est pourtant pas une jument violente. Loin de là ; la petite est pleine d'entrain, téméraire et joueuse. On attribuerait plutôt son caractère à celui d'une pouliche de quelques mois. Rebelle, fière et drôle, elle enchaîne les pitreries et ne se laisse pas marcher sur les sabots.
Décadence sait se servir de son adorable figure pour vous manipuler. Exactement comme l'aurait fait une pouliche gonflée d'un innocent orgueil. Mais elle ne vous manipulera pas méchamment, non, simplement pour vous mener à la baguette et vous conduire à l'aimer. Irrésistible. Qui pourrait ne pas fondre devant l'adorable petite jument ? Pourtant, elle a ses limites, comme tout le monde. Lorsqu'on l'énerve trop, elle vous apprendra à vous tenir à distance. Ses dents et ses sabots sont aussi aiguisés que son talent de manipulatrice. Elle a beau être assez ingénue et naïve, elle n'en reste pas moins entêtée. Peu attirée par les numéros de charme, elle ne s'aperçoit même pas que l'autre la drague, et pense avoir simplement affaire à un ami galant. Miss apprécie les mâles galants, par ailleurs. Elle s'empourpre vite lorsqu'on la surnomme Princesse, mais ses yeux pétillants ne perdent pas de leur malice. Comme une pouliche, elle rêve du prince charmant, sans jamais l'avoir trouvé. Son bel étalon blanc n'est pas encore venu la secourir. Peut-être la demoiselle n'est-elle pas encore assez mûre ? Il faut espérer que l'amour de sa vie sera présent pour la rattraper lorsqu'elle chutera de son arbre.

Le nom de la miss ne laisse rien paraître de sa réalité. Naïve, joueuse, avec ses vices enfantins, elle attire un petit harem de mâles qui demeurent pourtant bredouilles. Elle n'a rien de mauvais en elle, tout n'est qu'un paradis d'innocence et de pureté gamine. Sera-t-elle donc victime de l'éternelle jouvence ?

BIOGRAPHIE


Née du fils d'un dominant de harem et d'une solitaire - abandonnée à la naissance avec sa soeur jumelle par sa mère (voir l'histoire complète), qui ne leur laisse que leurs noms, Décadence et Déchéance - recueillie par le harem de son père, qui détestait les solitaires - enfance solitaire, rejetées par le groupe, n'ayant de contact qu'avec une jument qui les allaitait à peine et leur père, qui ne leur avoua jamais qui il était - elles tombent sur leur mère à l'adolescence - une dispute éclate, et elles apprennent l'identité de leur père - elles quittent le harem devant le mensonge de leur géniteur et le refus de celui-ci à avouer qu'il l'est - elles se disputent car Décadence veut retrouver sa mère (qu'elle apprend morte) - Déchéance brise les liens entre elles deux et la renie malgré le fort attachement qui les liait autrefois - Décadence décide de suivre sa soeur qui dit vouloir partir et trouve le tunnel.

Quoiqu'elle n'en ait pas l'air, Décadence n'a pas eu une vie facile. Son caractère serait-il dû à son enfance volée ? Elle n'a jamais pu vivre les joies d'une pouliche. Originaire de territoires plutôt lointains, elle était fruit d'un amour interdit. Son père, un jeune étalon croisé arabe et camargue, était le fils d'un dominant de harem, prochain dominant et actuel sous-chef. Sa mère, une jolie petite camarguaise pure souche, était une solitaire en quête d'aventures. Malheureusement, le harem voyait très mal les chevaux solitaires, ou extérieurs à leur groupe.
Cette histoire est antérieure à la naissance de Décadence. C'est celle de ses parents. Alors que tout semblait être l'idylle parfaite, un événement funeste arriva. Le frère de la Camarguaise, avec qui il était très proche, voulut par ambition défier le dominant du harem. Il ne supportait plus la haine dont les chevaux du troupeau faisaient preuve envers ceux qui vivaient autrement. Il le défia seul à seul, mais l'ennemi, un menteur, un lâche, se mit à crier au traître, à l'assassin, au fourbe qui ne respectait aucune règle, hurlant que le gris l'avait attaqué par surprise sans aucun motif, et sur son propre territoire. Celui-ci, indigné, redoubla de coups. Sa soeur était présente, cachée à l'ombre des fourrés, mais ne parvenait pas à trouver la force de mettre fin au combat qui prenait une tournure sanglante. C'est alors que surgit son compagnon, le jeune sous-chef, qui n'était pas présent lors du début de l'attaque. Elle se dit, soulagée, qu'il allait les séparer, mettre fin au combat. Il était fort, il était juste. Mais, à sa grande surprise, c'est avec la rage au ventre qu'elle le vit se jeter dans le combat pour soutenir l'hypocrite, et tuer de ses propres sabots celui qui devait être son beau-frère.
Elle ne savait pas que son compagnon ignorait qui était le Camargue. Elle ne savait pas qu'il avait cru, tout naturellement, ce que disait son père. Elle le hait pour être ce meurtrier, elle le hait, et, ne pouvant être compagne de l'assassin de son frère, le renia désormais.
Elle mit bas peu après de deux jumelles. Deux pouliches brun sombre, comme le naissent souvent les Camargue. Mais, encore pleine de rage, ne parvenant pas à aimer ces êtres pour moitié issus d'un monstre, elle les abandonna, ne leur laissant en héritage que leurs noms : Décadence et Déchéance, les deux seules choses qu'elle ressentait alors. Elle aurait voulu, de tout son cœur, que ces jumelles soient ses filles, soient précieuses à son cœur, qu'elle soit une mère. Mais elle n'y parvenait pas. Elle était indigne de s'occuper d'elles, pensait-elle. Idiote ? Oui, elle l'était un peu. Mais elle était surtout une âme brisée par le poids du chagrin.
Les deux jumelles, abandonnées à la naissance, manquèrent de peu la mort. Pendant deux jours elles durent survivre seules, face aux prédateurs, au froid, à la faim. Elles se rapprochèrent, tissèrent de fort liens. Puis, par une heureuse chance, elles tombèrent sur le harem de leur père. Celui-ci comprit aussitôt. Le reste du troupeau, d'abord réticent, accepta finalement de sauver ces nouvelles vies.

Décadence et Déchéance eurent une enfance solitaire. À l'exception de leur père, qui n'avoua jamais qui il était par ailleurs, personne ne les appréciait. Leur mère adoptive les nourrissait seulement. Elles se posèrent souvent la question de pourquoi le jeune arabe semblait si fier d'elles, mais ne comprirent que bien plus tard.
C'était un jour banal, qui devint le plus bouleversant de leur vie. Elles étaient devenues adolescentes, et se retrouvèrent face-à-face avec leur mère. Le visage de la traîtresse était gravé en elles, ainsi que son parfum, tout comme elle savait qui étaient ces pouliches. Il y eut une altercation, il y eut l'arrivée de leur père. Et, en crachant au visage du mâle qu'il n'avait qu'à s'occuper lui-même de ses filles, la jument s'enfuit.
Une violente dispute éclata alors entre les jumelles et leur père, qui a aucun moment ne prononça néanmoins les mots "fille" ou "père". Il refusait tout simplement d'avouer qu'il avait eut un lien avec une solitaire. Les jumelles quittèrent le troupeau sans un adieu. Décadence, naïve, ne comprenait pas très bien ce qui se passait, et suivit sa soeur sans chercher à savoir. Mais, âgée de trois ans, elle décida de retrouver sa mère. Elle avait pitié de la jument qui les avait abandonnées. Déchéance, qui vouait une haine sans pareille à leur génitrice, le prit mal. Très mal. Elles se séparèrent sur les derniers mots d'une bataille verbale. Décadence, cependant, ne retrouva jamais sa mère. Elle apprit en posant des questions à ceux qu'elle rencontrait qu'elle était morte. Un peu triste, elle finit par partir à la recherche de sa soeur.

Elle retrouva Déchéance, qui était devenue une splendide jument. Heureuse tout d'abord, elle fut vite rabrouée. La jument, bien différente mentalement et physiquement de la pouliche que Décadence avait connue, ne voulait plus entendre parler de leur lien de soeurs de sang, de leur affection d'autrefois. Déchéance reniait sa soeur jumelle. Elle s'en alla en lui crachant au visage qu'elles ne se reverraient plus, de toute façon, qu'elle partait et qu'elle ne reviendrait jamais. Elle évoqua vaguement un tunnel où elle devait se rendre, au milieu d'un flot d'insultes, et partit brusquement en laissant sa soeur plantée là. Mais celle-ci refusait de laisser tomber, et se lança sur la trace de la plus grande... Qui la mena jusqu'à l'entrée d'un sombre tunnel.
Décadence espère toujours renouer avec sa soeur. Elle attend un signe de bonté de la part de cette jument trop froide qu'elle ne reconnaît plus, et guette, depuis son nouveau troupeau, l'aube d'une nouvelle famille qu'elle pourra rebâtir des ruines de l'ancienne.

INFOS PRATIQUES


créateur/créatrice •• Hamilton.
besoin d'un test rp? •• Non.
conditions •• Être sûr(e) de garder ce personnage et respecter son caractère.
précisions •• Ce personnage est la soeur de Déchéance (également en PPC). Si Décadence est jouée puis abandonnée, elle sera remise en PPC.


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